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📍 Coordonnées : 43.666412, 3.879262
⛰️ Altitude : 122 mètres
👁️ Angle de vue : xxx °
🧭 Orientation : ?
🥾 Accessibilité : Parcourir 800 mètres à pieds depuis le parking au départ du sentier de Baillarguet, chemin du Martinet à Clapiers
Face à la croissance démographique et l’artificialisation de l’espace de l’agglomération Montpelliéraine, la forêt de Clapiers et le massif de Baillarguet sont une coupure verte proche du centre urbain, classée comme protégée dans le SCOT de la Métropole.
Facile d’accès, il est très fréquenté à la fois par les locaux et les Montpelliérains pour des activités de pleine nature en plein essor : marche, running, VTT. Ces nouveaux usagers de l’espace issus généralement d’une culture urbaine comprennent mal la présence des chasseurs dont la pratique (battues aux sangliers en particulier) peut réduire leur liberté de circulation, tout comme la propriété privée des espaces boisés, surtout si elle est matérialisée par une clôture ou une barrière.
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La forêt de Clapiers et Le Bois de Baillarguet ne sont (re)devenus un bois qu’au 20ème siècle ! Les collines au Nord de Montpellier ont été défrichées dès l’époque Romaine, et ensuite le territoire s’est partagé entre cultures dans la plaine et les bassins sédimentaires (« ager ») fondées sur la trilogie vigne-olivier-céréales, et parcours (« saltus ») pour les ovins sur les reliefs, aussi exploités pour le bois de chauffe, les cueillettes diverses et la cochenille.
Dans les paysages de la forêt de Clapiers et du bois de Baillarguet l’empreinte du feu est partout présente. Aux abords du belvédère, en 2008, un incendie a parcouru une vingtaine d’hectares, menacé des habitations… et dégagé la vue panoramique actuelle.
Propriété : commune
Accessibilité : oui, espace public
Etat : édifice historique restauré
Propriété : commune
Accessibilité : oui, espace public
Etat : Monument historique-début réhabilitation
Propriété :
Accessibilité :
Etat :
En 1892 la commune fait construire cette éolienne pour monter l’eau, en haut du village, à une citerne près de l’église. De là elle approvisionne plusieurs abreuvoirs. En 1900, puis 1908 on améliore le système avec une moto-pompe. L’eau est alors distribuée dans une quinzaine de fontaines. Le système a fonctionné jusqu’au années 1950. La citerne près de l’église a été détruite et replacée par un parking. L’eau est alors fournie par le syndicat des eaux de garrigues Campagne. Elle arrive au premier château d’eau du « pioch de la clastre », puis au second château d’eau du » pioch de la vue » qui domine le plan goutier (belvédère du château d’eau –tour de guet incendie).
E.Hammel : « Anem a la font…Les sources de Clapiers », 2018, p.36-38
Contact : occitanaclapiers@laposte.net
Auteur : Olivier de Labrusse
Breveté en 1958 par l'architecte Philippe JAULMES, le PANRAMA, premier procédé de projection sur écran hémisphérique, repose sur les principes de l'anamorphose sphérique et de la perspective curviligne. Il est présenté à Bruxelles en 1958, à l'Exposition universelle de Montréal en 1967, et à Clapiers, près de Montpellier, en décembre 1969, dans une salle de 50 places spécialement construite avec un écran de 12 m de diamètre (environ 180 m2).
"L’image n’est plus encadrée, la salle n’existe plus : elle devient espace. La participation du spectateur est absolue"
Inscription : en 2015 par la DRAC : « Patrimoine du 20éme siècle »
Contact : Hubert CORBIN secrétaire de l’Association « les Amis du PANRAMA » panrama@laposte.net
Auteur : Giles Dutau et Gérard Miclet
Contact :
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